vendredi 29 avril 2011

Tu baises les ménagères, c'est bien tu dois avoir le cul qui brille, mais c'est pas ce qu'on appelle la classe...

Copain, aujourd'hui il se passe un truc über-important en Britonnie. L'infant royal passe la bague au doigt à Katounette sous le regard énamouré et attendri de la Reine ( qui au fond ne doit pas vraiment se rendre compte de ce qu'il se passe. La pauvre créature arborant un costume jaune poussin, on peut affirmer sans crainte qu'elle a dépassé le stade de la sénilité. ) Et tu comprends bien que comme il ne se passe jamais rien en Britonnie, un simple évènement comme le susnommé a vite fait de créer des émeutes sociales.


Dans la comté où j'ai l'immense chance de résider actuellement, la populasse en liesse n'a pas trouvé meilleure idée que de se réunir dans les bars, ou même dans la rue, afin de festoyer gaiement et bruyamment en buvant à la fertilité des jeunes mariés. Qu'on ne vienne pas me dire que c'est encore une raison pour abuser de la boisson sur la voie publique, je ne vous croirai pas. Mon fantastique colocataire s'est même vu proposer une invitation à rejoindre ses copains roux afin d'ingurgiter son poids en cervoise tiède en regardant le défilé royal de chapeaux de mauvais goût. De peur d'être pris d'une crise de mini-vomi, il a préféré décliner l'invitation. Je ne comprends nicht. 


Les magasins, qui comme on le sait ont toujours de bonnes idées pour faire de la pub, ont revêtu leurs plus belles banderoles depuis le début du mois, en montrant des photos à forte teneur en sourire Colgate des futurs époux ( et présents à l'heure qu'il est, m'informe Stéphane Bern. ). Il y a même une bijouterie qui tente d'appâter le chaland en suggérant aux jeunes et frivoles femelles de faire comme Katounette et de dire "oui oui oui" à leur galant. J'aurais bien voulu participer, si galant j'avais eu, mais pour des raisons de désaccords sur la couleur du papier peint, j'ai été contrainte de quitter Jude Law la semaine passée. Je ne pourrai donc pas imiter la royale bru. De plus, je suis sceptique ( telle la fosse) à l'idée que ma parentèle aurait pu revêtir un petit tailleur jaune-poussin. 


Alors qu'au fond, disons-le franchement, tout le monde s'en tamponne le lobe avec une patoune de hamster circoncis, de savoir qui a cousu la robe de la mariée. On sait tous que c'est un groupe de petites chinoises dans une cave sombre. Ou bien combien faut-il de personnes pour brosser les dents de William ? Nan mais z'allez dire que je raconte n'importe quoi, mais vous zavez vu les ratiches du gus ? Je suis sûre qu'ils sont obligés de les photoshoper pour les faire tenir dans le cadre des photos. Je suis sûre que Katounette doit avoir l'impression de se faire gober les babines par un cheval. M'enfin chacun son truc hein, je ne juge personne. 


Mais ne crachons pas dans la soupe, si ces deux-là n'avaient pas décidé de s'unir sous les meilleurs auspices ( ils pourraient aussi y envoyer la gâteuse ) j'aurais dû aller à l'école, et pas n'importe laquelle, celle des attardés mentaux du français, qui pensent après quatre ans d'apprentissage de la langue qu'il n'est pas nécessaire de conjuguer un verbe pour se faire comprendre de la gentilé locale. Quoique, je suis certaine que certains compatriotes ont le même raisonnement, je vous en prie, aidez la recherche, avec vos dons, on pourra bientôt envoyer un Besherelle à chaque enfant ( qui, n'en comprenant pas l'usage, serait bien capable de le manger, mais on ne peut pas non plus faire dans le social tout le temps, ça fatigue. ). Donc j'ai été dispensée d'aller répandre la bonne parole et je peux donc rester en cambuse, à manger des nachos en regardant tous les films d'Harry Potter. Et ça ça n'a pas de prix. ( Sauf celui des nachos, mais ils étaient en promotion. )


La Licorne Masquée




" William, grand fou, ta crinière me chatouille ! Tu as beau avoir les cheveux courts, je suis sûre que tu as une queue de cheval. " ( Ooooh, c'est sale. )


PS : Si tu ne m'amènes pas de nouveaux fans, j'irai manger tes enfants. Avec de la mayo. Tremble gredin. 

mercredi 27 avril 2011

Tu es un traître, comme ta petite taille le laissait deviner

Il y a des journées où NS, dans sa toute puissance, me rappelle pourquoi je suis partie et pour quelles raisons j'ai décidé de passer mes journées à essayer de culturer la jeunesse Grand-britonne ( Sans succès pour le moment. ) Alors quand je suis un peu chafouine, je corrige des copies de petites sixièmes frêles et en lisant leur prose digne du Goncourt, je me sens mieux .


Top 3 du jour  : 
" Puis j'ai mis mes chaussures en congé." ( Tu es bien aimable avec tes souliers, les miens me demandent souvent des RTT mais ils peuvent toujours y aller, me chausser est un boulot à plein temps. Serais-tu un peu communiste sur les bords, militante des congés payés etc ? Je sens bien qu'avec des pensées comme ça tu bascules du côté du bas-peuple. Ressaisis-toi petite Margaret, ou peu importe ton nom à consonance Chedar, car en raisonnant comme cela le trône s'éloigne de ta personne à chaque instant... )


" On prend le goûter dans ma soeur." ( Apparemment l'élève auteur de cette amabilité fait partie du collectif-fan-club d'Emile Louis. Je n'ai réellement aucune autre explication. La violence de l'enfant me pique les yeux, et je pense avertir les services secrets britanniques afin que la petite et sa famille soient surveillés. On m'informe à l'instant qu'il n'y a pas de services secrets britanniques. Au temps pour moi. Comment puis-je encore vivre dans un pays où la sororité de chacune est menacée dès qu'arrive l'heure de la collation. Je ne sais. )


" Je mets mes vêtements sur l'école." ( Et tu es bien forte mon enfant, parce que je l'ai vue l'école, et pour aller coller ses frusques sur le toit de la susnommée, il faut presque un diplôme de javelot/lancer de poids. Et puis pour les récupérer, tintin, tu peux toujours y aller. Alors si c'est pour se balader cul-nu dans les couloirs et croiser Collègue Gros-Tas qui a fait la même chose, je préfère passer mon tour et aller vomir dans mon coin. A moins que la douce enfant n'ait décidé de revêtir son établissement de frusques afin de lui faire passer l'hiver et qu'il n'attrape pas froid. Dans tous les cas, je propose qu'on l'achève ( la fille, pas l'école ) avec des petites pierres pointues. Ce n'est pas cruel, c'est pour éviter qu'un jour elle ne se reproduise. Ca s'appelle le contrôle des naissances. C'est scientifique. )


Et comme c'était vraiment une bonne journée, un petit enfant dans une poussette m'a tripoté le fondement de son plein gré. Si quelqu'un pouvait rédiger une sorte de loi universelle comme quoi j'attire le pervers tripoteur comme le lépreux attire la lèpre, on me croirait enfin. Parce que là vous zallez croire que je raconte que des menteries, alors que je ne suis que vérité. Et vous zallez imaginer que je porte l'abattis frontal en masse ( je parle de protubérances mammaires, et ton père aussi.) et que j'arbore le capillaire couleur blé-sauvage comme une vulgaire prostituée hongroise, ou toute autre fille de faible vertu des pays de l'est. Alors que point point. Mais que voulez-vous, le pauvre monde ne résiste pas à mon sex-appeal (que je laisse souvent à la maison parce que se balader avec un vibromasseur, c'est sale. ).


Voilà Copain, j'ai déjà un peu trop écrit pour te raconter le Gai Paris, mais ne pleure pas, ça viendra vite. 


La Licorne Masquée






" Les moines à qui j'ai dû refiler la vérole dans une vie antérieure, ce qui me conduit présentement à me taper un karma aussi enviable que celui d'une chèvre à trois pattes. Merci les mecs. "


PS : N'oublie pas de cliquer ici . Je veux plus de copains, sinon je boude et j'arrête de te raconter des choses drôles. Sois prévenu Copain, ne me provoque pas le courroux... 

mardi 26 avril 2011

Vous jouez sur les mots Larmina

Copain, ne pleure plus de chagrin et de désespoir, je suis revenue. J'ai visité le gai Paris, et je crois que demain tu auras le droit à un aperçu en VIP ( Very Important Poney ) de mes impressions sur cette charmante bourgade. 


Mais aujourd'hui tu vas te réhabituer doucement à mes fulgurances intellectuelles, je ne vais pas être mesquine et te bombarder de phrases absconses que tu comprendras aussi facilement qu'un film serbo-croate sous-titré en arménien. L'internet est contre moi, contre nous et notre amour, et ne veut pas m'autoriser à poster des images. Or tu sais que sans image, l'article de la Licorne est long comme un jour sans pain. Je ne peux donc rien te raconter de drôle, et ceci me fait pique-piquer le coeur et les yeux ( qui pleurent des larmes de sang ). 


Mais si tu veux je peux te raconter une blague, pour te faire passer le temps plus vite jusqu'à demain. Attention c'est une galéjade qui m'a été soufflée par Bernard Pivot, elle est donc un peu ardue : 


Monsieur et Madame Tartine ont une fille, comment s'appelle-t-elle ? 




( Suspense intense, je te sens qui peine, qui pleure presque de rage à l'idée ( comme Johnny) de ne pas trouver la solution de cette énigme. Sèche tes pleurs, je vais te donner la réponse )


 Kimberley ... ( Je te laisse un instant pour comprendre, rire comme un petit fou et décider de créer un autel en hommage à ma personne. Et à celle de Bernard Pivot également, parce que j'ai adoré son dernier CD. )


Reviens demain Copain, je serai peut-être là... 


La Licorne Masquée 


PS : Toujours de plus en plus de fans et de visites, je ne suis que joie et frétillement. Vite vite, encore plus de copains, faites tourner ce site comme votre soeur ! 

lundi 18 avril 2011

Le train de tes injures roule sur le rail de mon indifférence

Copain, aujourd'hui je viens te parler parce que j'ai peur. Comme tu le sais je suis en vacances sur ma terre natale et donc je me sociabilise un peu. Parfois je me dis que je ferais mieux de rester cachée dans ma maison, mais bon, je ne puis empêcher mes fans en rut de cogner de toutes leurs forces contre ma porte, donc je sors. 


Mercredi, les copains veulent me forcer à aller voir un match de jeu de ballon. Alors pas en vrai, hein, encore heureux, sinon j'aurais dû simuler un suicide pour ne pas subir cette épreuve. ( A vrai dire je préférerais manger des escargots avec Patrick Sebastien dans un restoroute plutôt que d'entrer dans un stade. ) Alors quand je dis "jeu de ballon" je parle de celui qui se joue avec les petites patounes arrières, mais si, celui où les supporters portent des écharpes belles comme un chancre infecté. 


Je dois vous avouer, parce que vous ne l'aviez pas deviné encore, que j'ai un problème avec le jeu de ballon. Déjà les joueurs ressemblent à des fillettes, ou tout du moins en font les bruits. C'est assez confusant de les écouter sans avoir l'image parce qu'on n'est jamais sûrs que ce soit un match et non pas un documentaire sur la vie en internat pour filles. Dès que les joueurs ont le malheur de s'effleurer un petit peu, il faut qu'ils geignent comme des gorets à l'agonie, persuadés que cette fois-ci, ça y est, on va devoir leur couper le jarret. Et je ne vous raconte même pas ce qu'il se passe quand ils se font des crocs en jambe et ont le malheur d'aller respirer la pelouse d'un peu plus près. On est à la limite de préparer le caveau tellement les blessures ont l'air sévères. 


Nous ne parlerons pas non plus des écharpes des supporters parce que j'ai déjà abordé le sujet, même si vous auriez préféré que ce soit Catherine. ( Qui l'aborde. ) Bien que mes yeux pétillent d'une joie incommensurable rien qu'en imaginant ces chefs d'oeuvre de la haute couture, avec leurs couleurs bigarrées, leurs tissages chamarrés et d'un goût, comment dire, abstrait. Si encore l'écharpe restait cantonnée au stade et était brûlée après les galipettes des joueurs, je pourrais le tolérer, ou fermer les yeux sur l'existence de ce fléau. Mais parfois, le hooligan en puissance pousse le vice ( et mémé dans les orties ) en arborant fièrement, sans honte même, l'abject rebut même pas doux au toucher, lors de ces déplacements sociaux et publics. Songe-t-il, celui-là, au traumatisme visuel qu'il impose à ses congénères ( et Dieu sait qu'il en génère un sacré paquet ), aux larmes de sang qui déchirent la pupille sensible ( de l'Etat ) des gens qui le croisent ? 


Rappelons également que le but reste de mettre un petit ballon dans un filet, merci, autant aller chasser les papillons. Mais, me direz-vous, ce qui est beau c'est l'esprit d'équipe, ce même but qui les enflamme et les pousse à se sauter dessus tels de jeunes chiots en rut dès qu'un copain réussi à taper dans la balle et la mettre dans le petit filet ( l'exercice n'étant pas aisé, il ne fait que 7 mètres de long. ) On imagine aisément la joie enfantine qui agitent ces neurones vivifiés par le grand air, dont le quotient intellectuel ne dépasse souvent pas le nombre d'orteils, lorsqu'ils se retrouvent, une fois l'effort terminé, à se savonner la croupe dans les vestiaires. Un ange passe, et surtout ne ramassez pas la savonnette. 


( Par contre, n'oubliez pas votre second degré, je ne voudrais pas me retrouver avec des animaux morts dans ma boîte aux lettres. )


Ceci dit, je vous raconterai comment j'ai survécu ( ou pas ) à l'expérience de visualisation du match en lieu public. Je sens que je vais devoir être sehr sehr forte, psychologiquement parlant, mais je ne les laisserai pas gagner, je ne céderai pas à la tentation d'acheter une petite écharpe. Promis juré. 


La Licorne Masquée 






Charlie s'est caché dans cette image, sauras-tu le retrouver ? 

PS : Je vous rappelle juste que la Licorne a également sa fanpage, et que vous pouvez même me demander en copine, je dirai oui et nous ne serons qu'amour et eau fraîche ( comme BeckBeck dans sa chanson )

dimanche 17 avril 2011

Sais-tu danser la carioca ?

Joie dans ta soeur, copain, je suis revenue et j'ai des bêtises à te raconter, mille chansons à t'analyser ( parce que maintenant je suis bilingue dans ma bouche et que je peux faire semblant de comprendre toutes les chansons de la terre.) Alors aujourd'hui je te propose une chanson à texte, pleine de maturosité, de sens et d'implication politique pour sauver les dauphins. 


Vendredi 


7am, waking up in the morning ( 7 heures du matin, je me réveille le matin. Oui alors apparemment on est le matin, mais ça reste encore à vérifier.)
Gotta be fresh, gotta go downstairs ( Je dois être fraîche, je dois aller en bas. Peut-être sommes nous tombés sur une chanson éducative pour la jeunesse qui pue du slip, pour apprendre que le matin il faut se laver, mettre du savon sur son corps et frotteuh-frotte afin de ne pas faire mourir toute la planète en laissant ses aisselles en liberté autonome. )
Gotta have my bowl, gotta have cereal ( Je dois avoir mon bol, je dois avoir mes céréales. Nourrissez la bête, braves gens, vous ne savez pas ce qu'elle est capable de faire en temps d'hypoglycémie. Elle a la moustache qui pousse et elle pousse des petits cris d'animaux. Vite, apportez les Chocapics. )
Seein’ everything, the time is goin’ ( Tout voir, le temps passe. Oui le temps passe , et vite, et surtout le matin quand tu as plein de choses à faire comme être fraîche et manger des céréales. Moi je sais que le matin je suis assez peu réceptive au temps qui passe parce que j'ai les yeux tout collés et je ne peux donc pas voir l'horloge. Mais Rebecca est fraîche, elle a donc l'oeil vif du gardon élevé en haute mer. )
Tickin’ on and on, everybody’s rushin’ ( Qui fait tic-tac encore et encore et tout le monde se presse. Bah oui hein z'êtes marrants mais si vous arrivez en retard au travaillement, même un vendredi z'allez pas être accueilli très gordialement, même si vous étiez en train de manger des super céréales qui tuent. La vie est dure, même le vendredi. )
Gotta get down to the bus stop ( Je dois aller à l'arrêt de bus. Bah moi je dois aller à la banque hein, chacun ses occupations. Mais tu ne dois pas savoir ce que c'est la banque, c'est là où les adultes vont chercher de l'argent pour payer tes céréales du vendredi matin. Tu connaîtras ça toi aussi quand tu dépasseras l'âge de la maturité sexuelle. )
Gotta catch my bus, I see my friends (My friends) ( Je dois attraper mon bus, Je vois mes amis. Déjà, prends bien garde à attraper ton bus avant qu'il ne s'échappe, au pire utilise ta Masterball. Et par contre ne mens pas. Si tu vois tes amis, c'est que tu en as. Or tu as de la moustache. Donc, impossible. Merci Sherlock Holmes. )

Kickin’ in the front seat ( Taper sur le siège avant. Bah ça alors c'est pas très copain je trouve, d'ailleurs il va falloir m'expliquer quelque chose parce que j'ai l'impression d'avoir viré dauphin et de ne comprendre que couic à cette chanson. Si Beckbeck a treize ans, comment se fait-ce qu'elle zieute ses copinous en pleine conduction de véhicule motorisé? Les gus seraient-ils tous retardés au point d'avoir seize ans mais d'avoir redoublé trois fois leur quatrième ? Le cas échéant, sont-ils assez vifs de la synapse pour avoir réussi l'examen du permis de conduire ? )
Sittin’ in the back seat ( S'asseoir sur le siège arrière. C'est bien intéressant ce que tu nous racontes là. C'est vrai que je peux m'identifier, ça m'arrive souvent de me demander : Aujourd'hui je m'assois côté passager ou conducteur ? Tiens allez, passager. Mais Nom d'un bidet, qui va conduire l'engin à moteur ? )
Gotta make my mind up ( Je dois faire un choix. Ou tu peux tenter l'ubiquité, ou bien t'asseoir mi-à l'avant, mi-à l'arrière, et mi-molette. Mais je pense que le véritable dilemme de ta vie, petite Beckbeck, c'est au sujet de la pilosité : Cire ou laser ? Pose-toi les bonnes questions ... )
Which seat can I take? ( Quel siège puis-je choisir ? Et encore, on est dans une voiture, imaginez si elle avait pris le bus, la chanson aurait duré deux jours. )

It’s Friday, Friday ( C'est vendredi vendredi. C'est coule coule ça. Est-ce qu'on doit tout répéter deux fois deux fois ? Et puis honnêtement, à part la joie de manger du poisson ( Ceci est une phrase qui contient de l'ironie, car le poisson sert uniquement à te faire faire du pue dans ta bouche) , je ne vois pas vraiment le point du vendredi. )
Gotta get down on Friday ( Je dois descendre le vendredi. Présentement, cette phrase ne veut rien dire. Empêchez-la de continuer à chanter, ça devient trop pesant, je suis à la limite d'appeler Bernard Pivot pour qu'il m'explique ce qu'elle veut dégoiser. )
Everybody’s lookin’ forward to the weekend, weekend ( Tout le monde attend le weekend weekend. Pour faire des trucs super passionnants de foufou comme du jardinage, et des randonnées, et aller à la pêche, se déchirer la tête au Canada Dry et danser jusqu'à au moins 23h sur la dernière compil de Carlos. )



Partyin’, partyin’ (Yeah) ( Faire la fête. Faire la fête. Yeah. Pensez à racheter du Champomy les mecs, la dernière fois on a été des grands malades, on a bu toute la bouteille. Je vous raconte pas l'état. )
Fun, fun, fun, fun ( Amusement. Amusement. Amusement. Amusement. Je vous demande de l'aide, la pauvresse est en train de pratiquer l'épilepsie en amateur et j'ai peur qu'elle se blesse. )

7:45, we’re drivin’ on the highway. ( 7h45, on roule sur l'autoroute. Je pense qu'on va prendre la sortie Vierzon et après on ira faire la fête au Restoroute après le péage. Remarquons que la jeune fille n'a besoin que de 45 minutes pour se réveiller, se faire fraîche, manger ses céréales, aller à l'arrêt de bus, voir ses copains, hésiter longtemps sur quel siège choisir et aller sur l'autoroute. Pendant que toi tu as besoin de ce temps pour te rendormir, courir mettre des vêtements mauves parce que tu n'as pas fait ta lessive depuis deux ans, avaler de la végétaline parce que tu as trop la tête dans ton anu pour voir ce qu'il y a dans ton placard et partir au travaillement. Copain, tu devrais prendre des cours avec Beckbeck pour apprendre à devenir frais. )
Cruisin’ so fast, I want time to fly ( Allant si vite, je voudrais que le temps s'envole. Comme un petit papillon pailleté qui irait vers un monde enchanté plein de licornes. )
Fun, fun, think about fun ( Amusement, amusement, pense à l'amusement. Pense à ton copain patron qui va te lancer des punaises si tu es en retard, même si c'est vendredi vendredi. )

You know what it is ( Tu sais ce que c'est. Que donc ? J'ai perdu le sujet du débat depuis le début de la chanson. Peut-être même qu'il n'a pas été mentionné. Mais partons du principe que je sais, parce que je sais tout. )
I got this, you got this ( J'ai ça, tu as ça. Et je te tiens par la barbichette. Surtout avec toi, j'ai de quoi tenir. )
My friend is by my right ( Mon ami est à ma droite. Quelqu'un pour lui en coller une par la même occasion ? Je commence à pleurer des larmes de sang. )
I got this, you got this ( J'ai ça, tu as ça. D'accord, faisons comme ça, et le jour où tu ne l'as plus, tu m'appelles, je te prêterai le mien. )
Now you know it ( Maintenant tu le sais. Quelqu'un sait-il de quoi cette brave fille parle depuis le début du couplet ? Si oui, merci de poster votre réponse en commentaire. Vous sauverez des vies, Matt Pokora est bloqué dessus depuis deux semaines, aidez la recherche. Merci )



La Licorne Masquée 




Et bientôt, un tutoriel pour avoir le même maquillage. Cachez votre joie. 

PS : Merci aux copains de plus en plus nombreux, je vous aime de l'amour. Z'avez vu, je ne suis pas qu'une sombre connasse aigrie. 

mardi 12 avril 2011

Tu veux que j'aille leur dire de se faire enculer ?

Il faut ABSOLUMENT que je vous raconte à quel point les gens sont fous. Je pense que j'ai dû refiler la vérole à des prêtres dans une vie antérieure pour avoir un karma aussi moisi. Mais passons, je sais que ma vie ne sera qu'aventures plus ou moins passionnantes, surtout moins que plus d'ailleurs, et que serai confrontée à des pervers du péni à de nombreuses reprises. 


Apparemment j'attire tel l'aimant les individus qui aiment se tripoter la nouille. Il y a des gens qui attirent la foudre, d'autres les chats errants. Pas de bol, la partie génitale est tombée sur moi. ( Pas littéralement bien sûr, c'est sale. ) Toute cette histoire a commencé il y a quelques années, lorsque, étant encore jeune et naïve, je fût mise face au "pervers de l'autobus". Comme son nom l'indique, il se trouvait dans le bus, et comme son nom ne l'indique pas, il devait frôler les soixante ans. Ouvre tes esgourdes, l'ami, cette histoire a fait pleurer les ménagères.


C'était l'hiver et il faisait froid, le vent glacé de la nuit ne faisait rien puisque j'étais dans le bus, donc bien au chaud. Il n'y avait personne dans le susnommé, à part une vieille personne de sexe masculin ( ce que j'ai pu confirmer plus tard ). Déjà l'individu arborait fièrement le regard vicieux de ceux qui ont passé la plus grande partie de leur vie à pratiquer l'onanisme parce que personne n'avait eu la bonté de leur dire que ça rend sourd. ( Quoiiii ? J'entends pas !). Sûrement attiré par ma chair fraîche de bombe sexuelle, le nez rougi et les yeux bouffis par la maladie. Bref, ni une ni douze, il a baissé son fringuant jogging afin d'exhiber ( et sûrement de me signifier quelque chose par la même occasion, mais je n'ai pas compris, je ne dois pas savoir décoder les signes et autres animaux à plumes) afin donc d'exhiber ses parties génitales, apparemment fonctionnelle, et on est bien contents de l'apprendre. Croyez-moi les copains, c'était aussi dur psychologiquement pour moi que ça l'était physiquement pour lui. 


Puis, l'été dernier, la vieille personne ( pas la même, mais sûrement de la même espèce ) a récidivé. Alors que je me baladais tranquillement sans faire de mal à des chatons ( pour une fois ) sur mon transport à vélocité véloce bi-roues, ce que certains appellent un homme d'âge mûr, ( qui penchait sévèrement vers l'âge pourri d'ailleurs, je me demande comment il faisait pour tenir sur son biclou ), une forme ridée munie de deux grandes cannes en guise de guiboles m'a gratifié de son plus éclatant sourire à base de dentier, puis s'est tripoté les parties tout en continuant de me regarder. Inutile de préciser qu'il portait un tout petit short et que j'ai failli finir dans les fourrés à force de destabilisation mentale und physique.


Et le bouquet final, la conclusion ( priez pour que ça le soit ). Cet après-midi même, sur la MÊME route que le monsieur du vélo et du tripote tripote sur le short, un gus d'origine assez non-identifiée, lui aussi sur un vélocipède véloce ( je pense que tous les pervers tripoteurs se baladent en Vélib', prendez garde ). Le gus s'arrête à ma hauteur ( un mètre soixante-dix à peu près ) et me tint à peu près ce langage : Ouh c'est mignon ça.T'es prise ? - Euh oui, répondis-je, de ma plus belle voix. Mais je suis avec une fille en fait . ( Un jour on parlera de pourquoi dire à un gus qu'il chasse le même gibier que vous ça peut sauver des vies. ) Et là, ce garçon plein d'espoir, de confiance et d'optimisme me dégoise ainsi : Je peux te lécher si tu veux, vite fait, dans les buissons. 


Aurais-je dû répondre oui à cette invitation galante et romantique qui aurait égayé le quotidien triste de ma vie ? Aurais-je dû céder à l'impulsion d'un moment afin d'en garder un souvenir inoubliable et des chlamydias ? J'ai été tentée, je l'avoue, surtout qu'il portait une moustache blonde/rousse et un maillot de jeu  de ballon de l'Olympique de Marseille, nous le savons. Mais j'avais une leçon de poney et je ne pouvais pas être en retard, Boudin Créole ne me l'aurait pas pardonné. Alors je lui ai dit : Euh merci, jamais entre les repas, c'est contraire à ma religion. Et je me suis trissée plus vite que le castor en roller. 


Avoue que tu envie mon sex-appeal ( ça s'appelle aussi un vibromasseur) et le fait que je dois transpirer le seske pour attirer à moi les mâles en rut les plus irrésistibles de toute la Terre. Au moins. 


La Licorne Masquée


Et euh là c'est une photo de mon nouveau copain, on s'est rencontrés sur Internet et on va se voir pour la première fois chez lui dans un bois. Je vous raconterai. 

lundi 11 avril 2011

Tu l'as dans le cul profond, tu me dois 200 ...

Il faut que je te raconte, copain, comment j'ai failli ne pas rentrer dans ma maison. Tu le sais, je suis en non-travaillement pour cause de vacances pendant deux semaines de joie et d'euphorie. Et pour fêter ça, j'ai décidé de rentrer au Pays de la Baguette-Und-Brioche-Pour-Les-Jours-Où-Ils-N'ont-Plus-Du-Susnommé. Mais c'était sans compter sur la fourberie des étrangers, notamment des mangeurs de tapas, ainsi que de ceux qui habitent le Nord, et par conséquent ne sont pas tout à fait de notre pays. Ami si tu es du Nord, ne t'affole pas, je t'aime quand même, un peu moins que les autres mais quand même. 


Je devais prendre le Transport à Vélocité Galopante, notamment la version sous-marine. Sauf que,( et là, le drame se produit. ) Au moment de monter du dedans, nous nous rendons compte, avec esbahissement und surprise, que nous n'avons nicht la possibilité d'accéder à l'intérieur du train, parce que deux compatriotes de Julio Iglesias ( dont les parents sont sûrement frères et soeurs. Ceux des quidams du train, pas de Julio Iglesias. Quoique. ) donc parce que deux individus apparemment de sexe féminin ne comprenaient pas comment mettre leurs valises dans les petites cases prévues à cet effet. ( Quand déjà personnellement il en manque quelques unes, c'est moins évident de s'occuper de celles des autres ). Nous étions ( un gus et mézigue ) coincés sur le quai, avec nos valises, attendant que les gussettes terminent leur partie de Tetris grandeur nature, niveau 1, tout de même. 


Le monsieur de la gare, qui intérieurement ne doit pas pouvoir supporter la moindre minute de retard, a opiné du sifflet à son copain du train, pour lui signifier en langage de gens de train que : " Vas-y, roule Raoul." Sauf que, dans le train je n'étais guère. Je me voyais déjà passer les vacances en Anglicie à pleurer en mangeant le chedar que j'étais censée rapporter à ma parentèle. Le gus qui se trouvait sur le même quai de gare, et dans la même galère que moi ( magie de l'ubiquité ) arborait un regard perdu d'épagneul breton, un soir de juillet sur une aire des autoroutes du sud de la France. J'ai vu à ce moment là que je n'allais pas pouvoir compter sur lui, et qu'il aurait mieux fallu le piquer pour qu'il souffre moins, mais je me ballade rarement avec du matériel stérile dans mes poches. 


J'ai donc ( avec mon plus bel accent grand-briton, et toute ma courtoisie dissimulée ) dégoisé à Carmen qu'elle pouvait bien se carrer son bagage dans le fondement, que ça m'importait assez peu que le nombre de ses synapses ne dépasse pas le nombre de ses moustaches, et que si elle ne me laissait pas monter dans le transport public, j'allais pratiquer sur son corps bronzé une sorte d'arrachage de peau, et saupoudrer les plaies encore fraîches de chili con carne. Ca a eu l'air de faire son petit effet, par un miracle qui n'arrive pas qu'à Lourdes, mais aussi aux personnes qui le sont, la valise de la susnommée a eu l'air de se ranger toute seule, j'ai sauté dans le train au péril de ma vie ( ça c'est faux mais c'est pour vous faire croire que je suis un peu Indiana Jones ), le garçon-épagneul a sauté aussi, mettant en péril ses lunettes en écaille, la porte s'est refermée dérechef, et j'ai remercié intérieurement PJ, NS et même la clique des apôtres ( sauf Judas, je le trouve pas très copain). 


Je suis ensuite arrivée à Lille. Et là, je n'ai pas envie de faire du mal à mes copains du Nord, sauf qu'en fait je me dis que je ne dois pas en avoir des masses, parce que j'utilise beaucoup de mots de plus de trois syllabes. J'ai été  brusquement entourée par des hordes de jeunes gens portant casquette à l'envers, jogging rentré dans des chaussettes vaguement blanches, leurs accompagnatrices secouant leur séant surmonté d'un petit dessin tribal ou d'un dauphin semblant plonger vers des profondeurs qu'il vaut mieux laisser dissimulées. Et je peux vous témoigner que de passer d'un environnement où les gens dégoisent l'anglais à un monde où les individus parlent chti, c'est psychologiquement traumatisant. J'ai été dans la nécessité de demander mon chemin à un gens, je n'ai pas compris un traître mot de ce qu'il m'a répondu, j'ai donc essayé de décoder les gestes approximatifs qui accompagnaient la parole, et je suis partie en espérant ne pas me retrouver à Dunkerque. 


Mais comme tu le vois, copain, je suis bien arrivée dans ma maison, et même si j'ai moult choses à faire, je pense quand même un peu à toi, parce que je t'aime de l'amour, tu le sais. Et quand je suis arrivée, j'ai mangé du pain, et j'ai eu un gros orgasme ( à cause de la partie culinaire bien entendu, je ne vais pas vous raconter les cochoncetés qui ne m'arrivent même pas )


La Licorne Masquée






" Tu veux voir ma grosse fricadelle ? " 


PS : N'oublie pas d'être fan sur la page préparée à cet effet. 

samedi 9 avril 2011

Tu peux toujours y aller mon petit bonhomme en mousse !

Copain je t'apprends une triste nouvelle, mais pas trop non plus. Je rentre au pays de la Baguette-A-Béret, ce qui est une nouvelle jouasse et pleine de positif, mais ça veut dire aussi que je vais avoir moins de temps pour toi. Il se peut que je ne t'écrive plus un petit mot doux par jour. Non ne pleure pas, comme le dit si bien Céline, je ne vous oublie pas, non jamais. Je viendrai quand même te raconter moult choses rigolantes parce que je sais que je suis un peu le soleil de tes nuits sombres. 


Alors avant de partir, je te laisse avec un autre épisode de "S'amuser au Musée" parce que c'est samedi, et qu'on a le droit de se relâcher le périnée un peu. 




    "Grand Dieu et nom d'un évier en stuc! s'écria Josette avec frayeur ( et pourtant elle était seule ). Chéri qu'est-ce donc que cette grosse chose qui rampe par terre et qui semble se diriger vers ma personne ? 
- Mais rien, rien, ce n'est que ma b..., ma bretelle mon amour." 




La Licorne Masquée


PS : C'est pas parce que je suis partie qu'il faut faire n'importe quoi, et arrêter de venir, et arrêter de commenter, et arrêter d'être super fan numbeure ouane de mézigue . Ca me rendrait colère. 

vendredi 8 avril 2011

Meurs, pourriture communiste !

Bon alors je sais que vous êtes en suspense intenable de savoir la suite des aventures de Chose et sa copine bleue dans la forêt magique pleine de plantes qui brillent et qui s'allument sous vos pas comme un dancefloor enflammé. J'ai regardé la fin, mais uniquement parce que je vous avais promis hein, parce que mes yeux ont un peu pleuré des larmes de sang. Mais vous savez bien que je ferai tout pour vous mes agneaux, et donc je vais vous raconter la suite. Bon alors bien sûr c'est approximatif parce que d'un oeil je zieuttais le film, et de l'autre je me tricotais des moufles en crochet. Mais point d'inquiétude car, comme Himmler, je suis capable d'une grande concentration. 


Alors en fait Chose est censé être un messager de la paix qui vient dire aux gens bleus qu'ils doivent partir de leur chez-eux pour que les méchants humains avec leurs rires de méchants puissent prendre tous les cailloux. Jusque là tout se passe comme prévu, sauf qu'en fait, Chose se rend compte que la guerre c'est mal et que ce serait plus lolilol de rester avec les scientifiques gentils à prendre de la drogue et à croire qu'on peut parler avec les plantes. Surtout que, ( attention c'est très inattendu ce qui suit ) Chose va tomber en amour avec la fille. Forcément c'est une surprise pour tout le monde, je sais, même moi j'en étais esbahie. 


Alors là, Chose a une crise existentielle, il le dit lui-même : " Je ne sais plus qui je suis" et je lui réponds :" C'est parce que tu as oublié ta gourmette. Voyons." Il hésite et tergiverse, que faire ? Rester avec les méchants, aller avec les gentils ? C'est trop compliqué et j'ai cru que j'allais devoir arrêter de regarder parce que ça commençait à être trop du suspense pour moi, et que je sautais une maille sur deux sur mes moufles. Finalement, il reste encore un peu avec les gens bleus. Mais là aussi ça se complique. Décidément, c'est un film bien compliqué. La fille, Pocahontas, elle aussi elle est en amour avec Chose, mais le destin ne devait pas être ainsi. Car elle était censée faire le seske avec un autre ( qui a une tête vilaine comme tout d'ailleurs, je comprends qu'elle n'ait pas très envie de faire la fornication sylvestre avec le gus ). Donc les deux hommes ( ou sorte de ) vont devoir s'affronter dans un combat sans pitié pour gagner l'attention de la femelle. Chouette, on se retrouve encore sur Discovery Channel. 


De leur côté, les méchants décident que bon faut pas déconner, et qu'on paie pas l'infirme pour qu'il aille tripoter la tresse de sa copine, et que donc ils vont faire un truc de méchants, c'est à dire qu'ils vont tout casser et tout brûler et tuer tout le monde, pour ( encore une fois je le rappelle ) du caillou. Donc là, l'action commence, ils se battent tous, les gens bleus ( qui comme Fucius ont oublié d'être cons ) se rendent compte que Chose est en fait un sbire maléfique et que c'était pas très copain de leur mentir comme ça. Donc ils l'attachent à un poteau. Oui, ce peuple est vraiment cruel. Mais ils s'échappe ( Sans blague, je pensais que le héros allait juste mourir comme ça sur son poteau, désappointée je fus ) et il se dit qu'il va faire des folies, mais pas comme s'acheter une paire de Louboutins par exemple. 


Les gens bleus ont tous très peur d'une sorte de gros oiseau-dinosaure-bouffeur de gens. Que fait Chose ? Il décide de dompter la bête. Nan mais faut pas chercher, y'a des gus qui feraient n'importe quoi pour faire leur intéressant et choper de la gueuse. Pendant qu'il s'amuse dans son coin tout seul ( pour une fois à quelque chose qui ne rend pas sourd.) une des gentilles a été sauvagement blessée par un des méchants. Et elle mourre. Les gens bleus, qui sont aussi des gens bons, essayent de la sauver en reconstituant une manifestation psychédélique digne des années soixante-dix. Ils s'assoient tous par terre, et ils agitent les bras comme des cul de jatte en péril, et ils ferment les yeux et chantent des chansons. Comme quoi, à côté des progrès de la science on est bien peu de chose. 


Et à la fin, les gens bleus gagnent, le gus à la tête vilaine et Chose redeviennent copain, les méchants partent de la planète la queue entre les jambes ( et plus dans les indigènes), les plus méchant de tous les méchants a été tué ( bravo bravo ), Chose reste et se transforme pour toute la vie en gus bleu et peut vivre de l'amour et de l'eau fraîche, d'un peu de chasse et de pêche ( Comme l'oiseau ) avec Pocahontas, tout le monde est content, tout le monde se remet par terre pour chanter des chansons et agiter les bras dans tous les sens et le spectateur est content-content, soulagé, heureux et j'en passe, que tout ça soit enfin fini et qu'on puisse recommencer à faire des choses utiles comme se couper les ongles des pieds ou manger du cèleri. 


La Licorne Masquée 




" On s'est dit que comme vous faisiez n'importe quoi avec tous les films, on pouvait peut-être venir aussi ! " 


PS : Tu ne commentes plus les articles, Copain, et je n'en suis que tristesse et désespoir, que vais-je faire sans toi ? 

jeudi 7 avril 2011

Minuterie, Pierre !

Hier soir, j'ai voulu me culturer un peu, mais je ne voulais pas regarder encore un film d'intellectuels comme Inception. A la base je devais regarder un dessin animé mais en fait c'était un documentaire animalier où des gens apparemment très copains se touchaient les parties génitales en rigolant. Donc j'ai décidé de regarder Avatar. Mais pour le moment je n'ai regardé que la première heure alors je vais te raconter le début. Et le premier qui spoile dans les commentaires, je lui fais roter du sang, parce que ce film est en train de devenir mon préféré de toute la vie. ( Attention charade, une partie de cette phrase est fausse, sauras-tu deviner laquelle . ) 


Déjà ça commence par une sombre histoire de gus qui meurt et c'est son frère qui va aller sur une planète hostile où une bande d'allumés version Schtroumpfs passent leurs journées d'oisiveté à courir dans les prés. Le frère en question c'est le héros. Enfin on nous dit que. Je ne sais pas quelle tranche de la population ils ont voulu conquérir avec ce gus, mais on a là un  personnage très handicap international, pas que physiquement d'ailleurs. On sent que tout ce qui fait appel à sa matière grise c'est compliqué. 


Chose ( parce que j'ai déjà oublié comment il se prénomine ) doit utiliser son double bleu porteur de petit slip en cuir pour infiltrer le clan des autres gens bleus parce que les méchants humains  de l'armée avec des cravates et des rires de méchants veulent prendre leurs cailloux. Ils vont quand même nous faire chier pendant deux heures trente pour du caillou, remettons les choses à leur place. Mais de l'autre côté, il y a des scientifiques gentils, avec des blouses gentilles et des blagues de gentils qui veulent faire ami ami ( sans avoir besoin d'y aller ) avec les gens bleus, parce que tu comprends, on est tous les mêmes, man, on appartient tous  à la même race et c'est beau la paix et les chatons. 


Alors Chose se perd, bien sûr, il allait pas faire comme tout le monde et rester avec le groupe pour manger son sandwich. Nan il va gambader dans la nature et il manque de se faire bouffer, mais comme il est un peu foufou dans sa tête, il réussit à s'échapper en plongeant alors avec grâce ( mais tout seul) dans les eaux bleues de la cascade telle la pub Tahiti Bain Douche parfum Coco. ( J'entendais presque la musique façon Koh Lanta. ) Mais la forêt est hostile ( enfin elle est à tout le monde, pas plus aux Styles qu'aux autres mais bon) et pour la deuxième fois le spectateur à peur, il tremble de voir Chose son héros, dévoré pendant la première demie-heure .( Que va-t-il se passer, Diantre ? )




Et là arrive Pocahontas à moitié nue après une petite discussion avec Grand Mère Feuillage. Ah pardon, mauvais film, autant pour moi. Nan honnêtement c'est vrai que c'est assez novateur cette histoire de gus ennemi qui rencontre la fille du chef et le chef veut le tuer d'abord mais elle prend sa défense et elle va passer toutes ses journées ( parce que visiblement elle n'a que ça à foutre, sur Pandora ils n'ont pas de lessive à faire ou de linge à repasser, vu qu'ils passent leurs journées à se balader à poil ) à enseigner sa culture et son langage approximatif ressemblant étrangement à l'ukrainien des steppes. On m'a dit qu'ils font le seske avec leurs chevelure ( je tiens à remarquer qu'ils sont tressés, seraient-ils germanistes ? ) mais ils mettent leurs capillaires dans leurs chevals, cela veut-il dire qu'ils font aussi le seske avec leur cheval fougueux, lancé au grand galop dans la forêt tropicale pleine de chaleur ?


Je tiens à m'incliner ( mais pas trop, ma grand-mère a eu des jumeaux ) devant la personne responsable des dialogues, il parait que depuis elle a été mise sous Curatelle. On note des répliques cinglantes, comme par exemple :  " Le Vénézuela c'était pas un pique-nique " . Oui, alors je sais que c'était pas non plus un Festival de Reggae ni une marque de tong. Avec tous ces indices je pense qu'on va vite trouver ce que c'était. Egalement, on sent une certaine tension seksouelle avec : " Il faut que tu la sentes. " Pendant un instant j'ai cru qu'encore une fois je m'étais gourée de films et que j'étais tombée sur Discovery Channel. Et pour la route, je vous en donne une dernière : " Tu peux lui dire ce que tu attends d'elle, dans la tête".  Inception, le retour. Bordayl je ne sais pas quel scénariste ils ont embauché mais là il faut le renvoyer de suite dans sa Cotorep natale, il a tout confusé.


La suite bientôt, parce que je regarderai la fin, ça fait partie de mes expériences de l'extrême. 


La Licorne Masquée 








" Dépêche-toi, on a encore plein de salsepareille à ramasser avant que Gargamelle arrive ! "


PS : Si tu nous rejoins et que tu es le  25ème copain, on pourra presque commencer à conquérir le monde. 

mercredi 6 avril 2011

C'est tout ce que ça te fait quand je te dis qu'on va manger des chips ?

Déjà je vous épargnerai le fait que Collègue Lèche-Cul nous a emmené dans un endroit sans viande pour manger, et qu'elle a réussi à me refourguer des lasagnes au tofu. Parce que ce serait une trop longue histoire, et sûrement douloureuse à raconter pour mézigue. 


Je vais plutôt vous raconter pourquoi l'Angleterre rend les gens gros, et pourquoi on ne s'en sortira pas vivants, ma Brenda. Je suppose que vous êtes des gens de bien, sinon vous ne seriez pas ici, je filtre les manants, et donc que vous ne mangez pas à des heures indues. Ou tout du moins si ça vous arrive, c'est dans votre quant à vous. Ca ne vous viendrait pas à l'esprit d'aller vous faire un restaurant indien à quatre heures trente de l'après-midi, ou bien de manger une soupe à dix heures du mat'. Dans le cas où vous le feriez, déménagez, vite, parce que c'est de l'autre côté de la Manche de chemise qu'est votre bonheur. 
  
Les restaurants ont cette particularité particulière, d'être ouverts d' à peu près 10 heures du matin à 8 heures du soir, sans interruption. Parce qu'il est bien connu que l'heure d'affluence est entre quinze et dix-huit heures, je veux dire, ça tombe sous le sens ( et pour aller le récupérer là-dessous, bon courage. ) Par contre, trouver un restaurant ouvert à vingt et une heures, c'est un peu comme parler physique quantique avec Arielle Dombasle.Surtout que même si l'Angleterre est réputée pour sa gastronomie variée, cuisine du monde, ouverture d'esprit ( et de la bouche aussi, c'est plus facile pour mettre des choses dedans. ) eh bien ils ont dû se passer le mot pour que ça ne se passe guère comme cela dans la bourgade sinistre où je survis réside depuis bientôt huit mois. 


En effet, ici les fins cordons bleus ( pas parce qu'ils ont été intoxiqués par une saucisse frelatée) pourront apprécier toutes sortes de mets raffinés et délicats plongés dans l'huile grasse d'il y a deux mois, par un chef étoilé adipeux suintant le graillon par tous les pores, dont la sueur âcre et ruisselante fait des ronds tels des yeux de bouillon sur son marcel blanc passé virant-au-gris. ( Ceux qui ne sont pas allés se fourrer deux doigts où je pense, oui oui, au fond de la gorge, peuvent reprendre leur respiration et continuer cette plongée abyssale dans l'antre ( mais surtout la sortie si on pouvait y arriver vite. ) de la délectation culinaire. ) Dans ce pays où un malade mental a inventé la barre de mars frite, on ne s'étonne plus de rien. Goûtez mes biquets, savourez les fish&chips ruisselants de matière grasse, dont les frites molles à peine cuites vous rappellent un arrière goût de beurre rance ( sûrement utilisé lors de la cuisson. )


Lors de vos sorties en ville, vous pourrez vous envelopper du tenace parfum de friture qui alourdit l'atmosphère, titillant vos papilles et vous forçant à vous jeter sur le premier magasin vendant des donughts fourrés à la confiture et recouverts de chocolat, de chantilly et de sucre glace ( True Story. Pour le plat, pas pour sa consommation personnelle. ) Et même si vous êtes dans une bonne volonté de manger du légume ( pas les tétraplégiques, j'entends )il y aura toujours un collègue fourbe pour vous pousser dans ces collines de calories où tout le monde se vautre jusqu'à implosion. 


L'école est particulièrement fourbe pour cela, et chaque journée est une sorte de Passion du Christ, couronne d'épines en moins, c'est interdit par le règlement y'en a qui se sont blessés. Pas une journée ne se passe sans que des collègues, autrement dit des suppôts (zitoires) de Satan, n'apportent leur quota de chocolats, cookies, biscuits en tous genres, gâteaux recouverts de glaçage au beurre, et j'en passe et des meilleurs. Honni soit qui régime fait. Celui qui ne se sert pas dans la montagne de sucre sera alors stigmatisé, montré du doigts comme un traître à sa patrie pour avoir refusé sa part de calories imposée ( sûrement par la Reine. )


Je ne parlerai pas de Collègue Gras-Double qui mange des sandwichs beurre-oeufs-saucisses, ni de mon colloc pour qui un petit déjeuner normal contient deux oeufs, quatre toasts à la confiture, du thé au lait et un bol de porridge, et je ne parlerai surtout pas des élèves qui sortent leurs paquets de chips à la pause du matin, et à celle de l'après-midi, ni de ces pauvresses tentant de courir pendant les leçons d'EPS, leurs bourrelets virevoltant dans le vent, freinant leur pouvoir aérodynamique, les forçant à devenir rouges et suantes, leur pauvre palpitant s'affolant comme un Roumain au salon de la caravane. 


Que ceux qui vont manger une salade après lecture de cet article lèvent la main. Surtout les manchots.


La Licorne Masquée


Dans ce pays, c'est la nourriture qui te mange. Juré.

PS : Alors copain, on t'attend sur la page de La Licorne Masquée, pour pouvoir conquérir le monde ! 

mardi 5 avril 2011

J'aime pas trop les voleurs et les fils de putes.

Aujourd'hui je lance un appel à l'aide ( mais pas trop loin pour que vous puissiez le ramasser ). Je ne suis que désarroi et j'ai besoin de force mentale parce que demain je mange avec Collègue Lèche-Cul. Et que ce matin j'ai cru que j'allais devoir achever la pauvre fille en lui tapant doucement l'arrière du crâne avec un annuaire. Je pense que demain je vais mettre un petit sandwich dans mon sac, au cas où elle nous emmènerait encore dans le bar à soupes. 


Je me suis dit que j'allais contrer les sombres idées pouvant germer telles la lèpre dans son cerveau germanique, en proposant dérechef un endroit où la pauvresse va pouvoir se transformer en poney en mangeant du foin, et où  Collègue Mange-tapas et mézigue pourront avoir de la vraie pitance. Je n'ai vu que bouderie sur les lèvres de Collègue Lèche-Cul, et je peux vous parier que demain, elle va nous traîner, jouasse et allègre ( Telle Claude en goguette) dans un Buffet à volonté de tofu. 


Ce matin, elle a quand même réussi à raconter à une autre collègue ( qui étrangement ne semblait pas avoir envie de lui enfoncer des punaises dans les yeux ) qu'elle s'était couchée très tard parce qu'elle avait regardé une émission sur les progrès en médecine orthopédique. ( Dieu me tripote, qui cela intéresse-t-il, à part les possesseurs d'une jambe de bois ? ). Elle a également passé touuuute la pause, et c'était une très longue pause, à dégoiser aux deux collègues germanophones ( mais pas forcément germanophiles ) dans sa langue maternelle, qu'elle ferait mieux de laisser dans sa bouche, en nous regardant avec un petit air supérieur qui me donnait envie de regarder le ciel en demandant à NS : Warum tant de haine ? 


J'ai donc élaboré une liste de solutions (finales ) pour me débarrasser de Collègue Lèche-Cul : 


- Lui faire un croche-peton dans les escaliers. 
- Lui couper la tresse, en fourbe quand elle a le dos tourné
- Lui dire qu'ils font des promotions sur les collants couleur chair pour la voir s'envoler de bonheur chez Mark & Spencers
- Lui voler son crayon détacheur
- Cacher les cahiers qu'elle doit corriger ( mais là je commence quand même à être méchante )
- Remplacer le  mot de passe de son compte informatique qu'elle vérifie 7 fois par jour par le titre d'une chanson de Tokyo Hotel
- Lui dire qu'elle doit revenir le samedi pour donner des leçons supplémentaires ( Ah non pardon, ça ça la ferait frémir de bonheur dans sa culotte. )


En tous cas, demain je vais avoir besoin de pensées positives, sinon je pense que son influence démoniaque m'atteindra, et que je me retrouverai à parler queues de cheval ( capillairement parlant, donc absolument pas graveleux ) en croquant des bâtonnets de carotte. 


Pour la marrade, une élève nous a demandé si c'était vrai qu'il fallait passer par la Russie pour aller de l'Allemagne de l'Est à l'Allemagne de l'Ouest. J'ai pas eu le coeur de lui détruire ses rêves. 


La Licorne Masquée 






"Pamela Anderson, elle est trèèèès distinguée." 


PS : Prendez garde copains, si vous n'êtes pas plus nombreux à devenir fan de moi, ce sera Compagnie Créole pour tout le monde ! 

lundi 4 avril 2011

J'aime me beurrer la biscotte



Le bonjour copain. Tu t'es déjà demandé dans ta tête comment serait la vie du dehors si tout était comme sur Facebook ? Parce qu'apparemment maintenant, quand tu veux un travaillement, le FBI va regarder si tu as pas rejoint des pages sales ou des trucs qui parlent de caca. Alors je me suis dit que les patrons devaient quand même en avoir une toute petite ( matière grise, voyons. ) pour croire qu'on est dans la vraie vie réelle comme sur Internet.


Déjà dans la vraie vie tu as un nom. Je veux dire, ton vrai nom. Parce que personne ne va se présenter à un entretien en disant : Le bonjour sur toi et ta famille, je me prénomine Petit Pot de Beurre, ou bien Hercule Deuxquiletiennent. Nan, en vrai tu as un vrai prénom comme Suzanne ou Roger et tu ne dis pas des bêtises sur ton âge où ton lieu de naissance. Même si ce serait rigolo. " Bonjour, je suis originaire d'Achiet le Petit et j'ai fait mes études à Deux Verges *. " 


Et puis bon, si on commence à juger les gens ( D'ailleurs Seul Francis Lalanne peut me juger ) sur les pages qu'ils rejoignent, je pense qu'on va tous se donner rendez-vous ( Dans dix ans ) au Pôle-Emploi. Enfin pas moi, parce que je n'ai pas vraiment de travaillement pour le moment. Enfin si, mais par ici ils n'entendent rien ( pas parce qu'ils sont déficients auditifs ) à mon langage. Donc ils peuvent toujours y aller pour traduire les intitulés des pages, surtout s'ils demandent de l'aide aux élèves comme mon élève-poète-fou... Je serai déjà partie quand ils se rendront compte que j'aime martyriser les lépreux. 


Mais dans un entretien quand même je pense que ça pourrait être la classe à Dallas : 
"( Le monsieur du travaillement ) - Oui bonjour alors vous êtes Tartine Aubry, bien. Donc vous avez d'excellentes références mais malheureusement il y a quelque chose qui me gêne un peu. 
- ( Toi qui tremble dans ta culotte comme une chèvre épileptique ) : Oui je sais j'ai menti sur le lieu de naissance. En vrai c'est pas c'est pas Duranus, c'est Jouy-en-Josas*. 
- Moui enfin ça ça peut encore passer, mais je trouve ça assez délicat d'embaucher quelqu'un qui revendique clairement manger des enfants le matin. Vous savez, on est assez tolérants, on a même quelqu'un au service informatique qui aime jouer au Twister avec des hommes-troncs, et on laisse faire. Mais quand ça touche les enfants, quand même, on n'est pas des bêtes. 
- Ah bah oui mais bon c'est parce qu'une copine était fan alors j'ai rejoins, j'ai pas trop réfléchi. Mais du coup, je suppose que parler sexualité infantile avec des prêtres, ça joue aussi en ma défaveur...
- Non, ça ne sont que des paroles mon petit.. Mais les actes, les actes... Je veux dire, pratiquer la bifle en criant " Appelle-moi Babar", c'est du domaine privé, mais Faire pipi partout en guise de mécontentement ... Vous comprenez bien que dans les bureaux ça fait désordre... " 


Bon, n'allez pas croire que je suis envers et contre tous ( alors qu'en plus aujourd'hui je suis en bleu), les rapports sociaux pourraient  être simplifiés jusqu'à pouvoir être compris des amibes sociales qui nous entourent:
" Y'a cette fille qui me branche, déjà je me ferais bien son poney, mais je ne sais pas trop comment attirer son attention, je vais quand même pas la demander en ami quoi. C'est un peu trop rentre-dedans ( quoique j'aimerais bien aussi. Rooh. Sale. ). Tiens je sais, je vais la poker... Si elle me re-poke, on entame une guerre du poke et on finit par faire le seske sauvage et torride dans les toilettes qui sentent les pieds au chédar de la fac. Canon comme idée." 


Et puis les phases d'approche  de malade, ce serait encore mieux qu'envoyer DRAGUE au 81414. " Salut, tu me connais pas, mais je t'ai repéré depuis quelques temps, on a deux amis en commun, c'est quand même fou. Et puis toi aussi tu aimes "Le pâté" et "Respirer par le nez" alors je me suis dit que ça nous faisait pas mal de passions communes. En plus, comme j'ai vu que tu étais fan de "Philippe Risoli", je me suis dit que je pourrais te prêter mes pin's parlants, j'en fais la collec depuis qu'un membre du groupe m'a envoyé un message perso pour me revendre les siens... " 


Bref, tout cela ne doit pas t'empêcher, copain, d'aller aimer la Fanpage de La Licorne Masquée ( autrement dit, votre serviteur ) pour qu'on fasse une ronde de l'amitié tout autour de la Terre et qu'on mange des chatons ensemble. Que ce soit dit mes biquets, je vous kiss love peace flex et je vous big uppe même un peu. 


La Licorne Masquée


* Si tu ne me crois pas copain, et que tu m'accuses de menteries, va voir sur Internet, parce que tout cela existe pour de vrai. 






PS : Voilà des copains gentils qui ont compris qu'en se pokant tous, on allait arriver à une société de l'amûûûr.